Justine, Lawrence Durrell

En faire un résumé est une mission impossible. D'ailleurs, ça ne rendrait certainement en rien toute la valeur, toute la beauté et toute la richesse de ce roman...
Bien sûr, ça parle d'amour. D'Amour et d'amours, d'adultère, d'Alexandrie, d'amitié et de souvenirs...
Et c'est beau !
Pour moi, c'est très dur de lire tout ça. Pour des raisons bien particulières qui rendent cette lecture, ce livre, très précieux pour moi.
Et c'est la raison pour laquelle je me contente de vous parler de Justine uniquement.
Parce qu'il me reste Balthazar, Mountolive et Cléa.
Et que j'aimerais faire durer le plaisir de cette douce lecture parfois un peu amère.
Alors je ne vais pas tout lire à la suite, même si une fois les dernières pages de Justine tournées je n'avais qu'une envie, découvrir un peu plus Batlhazar qu'on croise à plusieurs reprises.
Mais je crois que ça en vaut la peine. Parce qu'on a envie que cette lecture dure éternellement...
Je sais que j'en dis très peu mais je ne peux pas en dire plus. Tout est dans l'émotion, dans le ressenti. C'est si beau et si douloureux que ça serait gâcher le plaisir de lire la plume de Lawrence Durrell, que je relirai donc, très bientôt...
PS : pour vous, chère planète qui m'avez fait ouvrir ce livre qui me fait verser des larmes tellement il est imprégné de vous, merci...