On n'a pas toujours du caviar, Johannes mari Simmel
Pour bien résumer ce roman que j'ai trouvé absolument génial, je vais pour une fois me fier à la quatrième de couverture : "Thomas Lieven est un fin gourmet, un excellent cuisinier et un grand amateur de femmes. Ces particularités conjugées l'aideront à se sortir des mauvais pas qui l'attendent au cours d'une époque pour le moins troublé où il verra tous les services secrets - allemands, anglais, français - l'approcher successivement. A chacun, Lieven proposera ses talents, toujours aux mêmes conditions : ni meurtre, ni kidnapping, ni torture" ni uniforme ajouterai-je.
Bref, cet échantillon de la 4è de couv' donne un bel aperçu de ce Thomas Lieven, citoyen allemand, banquier à Londres lorsque la seconde guerre mondiale commence, Jean Leblanc en France, Colonel Everett en Angleterre, Pierre Hunnebelle à Marseille... et j'en oublie sûrement.
Parce qu'après tout, pendant ces 700 pages, on suit les péripéties de Thomas pendant toute la seconde guerre mondiale, ses escroqueries (sans jamais verser une goutte de sang), ses trahisons, ses arrestations, ses escapades amoureuses... et bien sûr ses excellentes recettes de cuisine !
Car comme le dit la 4è de couverture, Thomas est un excellent cuisinier et c'est avec joie qu'il se dépatouille de toutes les situations difficiles autour d'un bon repas.
Ainsi, le 21 septembre 1940 "La cuisine bourgeoise donne des forces pour l'apprentissage du crime". Ou encore le 8 décembre 1940 "Un dîner burlesque sauve la vie à Thomas Lieven" (grâce à une tourte surprise très alléchante c'est moi qui vous le dis!! ;-))
L'écriture est un peu désuète et j'avoue qu'au bout de deux heures de lecture ça peut devenir ennuyeux mais honnêtement, je trouve que ce style donne un charme au livre, un charme très bien incarné par Thomas Lieven ou quelque soit son vrai nom.
Bref, c'est drôle, c'est bon (j'ai oublié de dire que les recettes de chaque repas préparés par Thomas sont intégrées), c'est savoureux... c'est en un mot seulement : génial !!!
PS : Dans l'épilogue l'auteur nous raconte sa rencontre avec Thomas Lieven, raison pour laquelle nous pouvons aujourd'hui lire les aventures "secrètes et ultra-secrètes" de cet agent secret. Un homme dont, pour des raisons évidentes, l'auteur tait le vrai nom et l'adresse. On se dit alors que l'auteur a bien joué le jeu jusqu'au bout en rendant réel cet agent secret qui n'a jamais eu vocation de le devenir... jusqu'à ce que revienne à la toute première page où "Ce roman est fondé sur des faits réels."
Bref, cet échantillon de la 4è de couv' donne un bel aperçu de ce Thomas Lieven, citoyen allemand, banquier à Londres lorsque la seconde guerre mondiale commence, Jean Leblanc en France, Colonel Everett en Angleterre, Pierre Hunnebelle à Marseille... et j'en oublie sûrement.
Parce qu'après tout, pendant ces 700 pages, on suit les péripéties de Thomas pendant toute la seconde guerre mondiale, ses escroqueries (sans jamais verser une goutte de sang), ses trahisons, ses arrestations, ses escapades amoureuses... et bien sûr ses excellentes recettes de cuisine !
Car comme le dit la 4è de couverture, Thomas est un excellent cuisinier et c'est avec joie qu'il se dépatouille de toutes les situations difficiles autour d'un bon repas.
Ainsi, le 21 septembre 1940 "La cuisine bourgeoise donne des forces pour l'apprentissage du crime". Ou encore le 8 décembre 1940 "Un dîner burlesque sauve la vie à Thomas Lieven" (grâce à une tourte surprise très alléchante c'est moi qui vous le dis!! ;-))
L'écriture est un peu désuète et j'avoue qu'au bout de deux heures de lecture ça peut devenir ennuyeux mais honnêtement, je trouve que ce style donne un charme au livre, un charme très bien incarné par Thomas Lieven ou quelque soit son vrai nom.
Bref, c'est drôle, c'est bon (j'ai oublié de dire que les recettes de chaque repas préparés par Thomas sont intégrées), c'est savoureux... c'est en un mot seulement : génial !!!
PS : Dans l'épilogue l'auteur nous raconte sa rencontre avec Thomas Lieven, raison pour laquelle nous pouvons aujourd'hui lire les aventures "secrètes et ultra-secrètes" de cet agent secret. Un homme dont, pour des raisons évidentes, l'auteur tait le vrai nom et l'adresse. On se dit alors que l'auteur a bien joué le jeu jusqu'au bout en rendant réel cet agent secret qui n'a jamais eu vocation de le devenir... jusqu'à ce que revienne à la toute première page où "Ce roman est fondé sur des faits réels."