A l'abandon, Laurence Tardieu & Aude Samama
Voilà un court texte de la plume de Laurence Tardieu, illustré par Aude Samama.
Une femme, que j'imagine jeune, est allongée dans l'herbe. Et elle se laisse aller à rêver... Elle s'abandonne totalement. Elle va de l'enfance en passant par la quasi jouissance, jusqu'à la mort pour se réveiller et trouver l'amour...
Dit comme ça, ça paraît étrange.
Car finalement, avec sa plume qui me touche décidément à chaque fois, une plume douce, légère et profonde en même temps, Laurence Tardieu nous raconte les endroits où cette femme se rend lorqu'elle ferme les yeux et que son pied touche l'herbe fraîche... Ses souvenirs, ses désirs, ses peurs aussi...
C'est un simple texte où une jeune femme se souvient, ou essaie de se souvenir. Mes premières phrases donnent l'impression de quelque chose d'un peu mystique.
Ca l'est peut-être mais pour moi, encore une fois, j'ai juste eu le sentiment de lire un rêve.
Un doux rêve que j'ai pu ressentir comme la narratrice qui voit le visage de sa mère au dessus d'elle, comme lorsqu'elle était enfant. Un rêve qui devient un cauchemar quand les vagues qui la bercent doucement semblent l'emporter vers le fond des ténèbres, un rêve qui devient réalité quand le visage de cet homme apparaît au dessus d'elle, et qu'elle peut le toucher.
A l'abandon est un très court texte, dont les illustrations m'ont presque gênées car j'ai trouvé qu'elles rendaient le texte justement trop réel. Alors que le titre exprime si bien que cette femme se perd tout simplement dans ses pensées un jour d'été...
A l'abandon est donc un court texte sur lequel j'ai décidement beaucoup de choses à dire. Et comme à chaque fois avec les romans de Laurence Tardieu, je n'ai pas envie de m'arrêter, simplement parce que ça fait durer le plaisir de lecture.
Une femme, que j'imagine jeune, est allongée dans l'herbe. Et elle se laisse aller à rêver... Elle s'abandonne totalement. Elle va de l'enfance en passant par la quasi jouissance, jusqu'à la mort pour se réveiller et trouver l'amour...
Dit comme ça, ça paraît étrange.
Car finalement, avec sa plume qui me touche décidément à chaque fois, une plume douce, légère et profonde en même temps, Laurence Tardieu nous raconte les endroits où cette femme se rend lorqu'elle ferme les yeux et que son pied touche l'herbe fraîche... Ses souvenirs, ses désirs, ses peurs aussi...
C'est un simple texte où une jeune femme se souvient, ou essaie de se souvenir. Mes premières phrases donnent l'impression de quelque chose d'un peu mystique.
Ca l'est peut-être mais pour moi, encore une fois, j'ai juste eu le sentiment de lire un rêve.
Un doux rêve que j'ai pu ressentir comme la narratrice qui voit le visage de sa mère au dessus d'elle, comme lorsqu'elle était enfant. Un rêve qui devient un cauchemar quand les vagues qui la bercent doucement semblent l'emporter vers le fond des ténèbres, un rêve qui devient réalité quand le visage de cet homme apparaît au dessus d'elle, et qu'elle peut le toucher.
A l'abandon est un très court texte, dont les illustrations m'ont presque gênées car j'ai trouvé qu'elles rendaient le texte justement trop réel. Alors que le titre exprime si bien que cette femme se perd tout simplement dans ses pensées un jour d'été...
A l'abandon est donc un court texte sur lequel j'ai décidement beaucoup de choses à dire. Et comme à chaque fois avec les romans de Laurence Tardieu, je n'ai pas envie de m'arrêter, simplement parce que ça fait durer le plaisir de lecture.