Le jeu de l'ange, Carlos Ruiz Zafon
Voici le tant attendu "Jeu de l'Ange", vendu (à tort) comme la suite de L'ombre du vent. A tort car les évènements se passent avant ceux situés dans L'ombre du vent.
A Barcelone toujours, en 1920. David Martin est un jeune écrivain. Il travaille dans un journal et voit béni le jour où son patron lui demande une histoire car il est son dernier recours. Va alors commencer pour lui son heure de gloire qui va se terminer par une descente aux enfers...
J'ai dévoré Le jeu de l'ange, comme j'avais dévoré l'ombre du vent.
Et si vous voulez savoir ce que j'en ai pensé, de but en blanc je vous répondrai, très enthousiaste, que c'est génial.
Mieux que l'ombre du vent ? me demanderez-vous alors.
C'est à ce moment que je décortique ce que j'en ai réellement pensé...
Non ce n'est pas mieux que l'ombre du vent. C'est pareil. Un peu comme Ken Follett et son Monde sans fin (suite des Piliers de la terre).
Les procédés narratifs sont relativement les mêmes. La ville de Barcelone est toujours un personnage très important. David est écrivain, il va se rendre au Cimetière des livres oubliés, il a pour meilleur ami le libraire Sempere... On retrouve donc des lieux et des personnages de l'Ombre du vent.
On retrouve l'histoire d'une maison qu'on pourrait aisément qualifié de personnages aussi. On retrouve le côté policier, le côté fantastique, le suspens qui nous tient en haleine... et on retrouve surtout l'ambiance.
On se prend d'ailleurs très facilement au jeu.
Sauf qu'on peut penser qu'il a écrit le même livre. Et que comme il est prévu qu'il en fasse encore quelques uns pour couvrir l'histoire de l'Espagne au XXè siècle, on espère qu'il se renouvellera un peu.
Car oui, il y a quand même beaucoup de clichés et beaucoup de facilité en utilisant le fantastique jamais expliqué. Mais je crois que ce sont les seuls défauts que je lui ai trouvé.
Verdict final ?
Génial. Mais pas nouveau.
PS : en relisant quelques billets sur l'ombre du vent, je crois pouvoir avancer que "le jeu de l'ange" est un cran en dessous de l'ombre du vent. Mais ça reste un livre qu'on dévore !
A Barcelone toujours, en 1920. David Martin est un jeune écrivain. Il travaille dans un journal et voit béni le jour où son patron lui demande une histoire car il est son dernier recours. Va alors commencer pour lui son heure de gloire qui va se terminer par une descente aux enfers...
J'ai dévoré Le jeu de l'ange, comme j'avais dévoré l'ombre du vent.
Et si vous voulez savoir ce que j'en ai pensé, de but en blanc je vous répondrai, très enthousiaste, que c'est génial.
Mieux que l'ombre du vent ? me demanderez-vous alors.
C'est à ce moment que je décortique ce que j'en ai réellement pensé...
Non ce n'est pas mieux que l'ombre du vent. C'est pareil. Un peu comme Ken Follett et son Monde sans fin (suite des Piliers de la terre).
Les procédés narratifs sont relativement les mêmes. La ville de Barcelone est toujours un personnage très important. David est écrivain, il va se rendre au Cimetière des livres oubliés, il a pour meilleur ami le libraire Sempere... On retrouve donc des lieux et des personnages de l'Ombre du vent.
On retrouve l'histoire d'une maison qu'on pourrait aisément qualifié de personnages aussi. On retrouve le côté policier, le côté fantastique, le suspens qui nous tient en haleine... et on retrouve surtout l'ambiance.
On se prend d'ailleurs très facilement au jeu.
Sauf qu'on peut penser qu'il a écrit le même livre. Et que comme il est prévu qu'il en fasse encore quelques uns pour couvrir l'histoire de l'Espagne au XXè siècle, on espère qu'il se renouvellera un peu.
Car oui, il y a quand même beaucoup de clichés et beaucoup de facilité en utilisant le fantastique jamais expliqué. Mais je crois que ce sont les seuls défauts que je lui ai trouvé.
Verdict final ?
Génial. Mais pas nouveau.
PS : en relisant quelques billets sur l'ombre du vent, je crois pouvoir avancer que "le jeu de l'ange" est un cran en dessous de l'ombre du vent. Mais ça reste un livre qu'on dévore !