Mort à la fenice, Donna Leon

Wellauer, grand chef d'orchestre se fait attendre pour le 3è acte de la Traviata qui se joue à la fenice à Venise. Et pour cause, il gît mort, complètement défiguré dans sa loge.
Le comissaire Brunetti va alors être sur l'affaire et va donc devoir interrogé toutes les personnes présentes dans le théâtre ce soir là...
Je n'avais encore jamais lu de polar de Donna Leon.
Maintenant c'est fait.
Et honnêtement, je crois que je m'arrêterais là.
Ce n'est pas mauvais, non, c'est même plutôt bon mais pour moi, ça n'a franchement aucun intérêt.
Bon on se promène un peu dans Venise et pour qui va y passer des vacances bientôt (moi donc! ;-)), c'est sympa de se replonger dans l'ambiance de la ville.
Mais l'enquête avance au fur et à mesure et en tant que lectrice j'ai deviné petit à petit qui avait tué Wellauer, même si je n'avais pas compris pourquoi jusqu'à ce que ça soit écrit noir sur blanc.
Et pour une fois ce n'est pas tellement ça qui m'a dérangé.
C'est plutôt le comissaire.
Un comissaire qui se moque de son supérieur ça peut être très sympa. Sauf que ce comissaire a une femme et deux enfants et est très heureux dans sa vie personelle.
C'est peut être bête mais c'est la première fois dans un polar que je vois un flic qui n'a pas de souci de vie privée. Et j'ai trouvé ça non seulement bizarre mais du coup ennuyant parce que dans ce cas là, quel intérêt psychologique dans les personnages ?
Aucun. Pour moi en tout cas.
Encore une fois ce n'est pas un mauvais polar mais à force d'en lire beaucoup je me suis rendue compte qu'il me fallait des choses vraiment différentes, ou des personnages avec une psychologie vraiment poussée, avec une écriture très glauque, avec un univers qui sort vraiment de l'ordinaire enfin bref, pas un pur polar qui ne sort pas du genre "roman policier" pour que ça me plaise vraiment !
Le comissaire Brunetti va alors être sur l'affaire et va donc devoir interrogé toutes les personnes présentes dans le théâtre ce soir là...
Je n'avais encore jamais lu de polar de Donna Leon.
Maintenant c'est fait.
Et honnêtement, je crois que je m'arrêterais là.
Ce n'est pas mauvais, non, c'est même plutôt bon mais pour moi, ça n'a franchement aucun intérêt.
Bon on se promène un peu dans Venise et pour qui va y passer des vacances bientôt (moi donc! ;-)), c'est sympa de se replonger dans l'ambiance de la ville.
Mais l'enquête avance au fur et à mesure et en tant que lectrice j'ai deviné petit à petit qui avait tué Wellauer, même si je n'avais pas compris pourquoi jusqu'à ce que ça soit écrit noir sur blanc.
Et pour une fois ce n'est pas tellement ça qui m'a dérangé.
C'est plutôt le comissaire.
Un comissaire qui se moque de son supérieur ça peut être très sympa. Sauf que ce comissaire a une femme et deux enfants et est très heureux dans sa vie personelle.
C'est peut être bête mais c'est la première fois dans un polar que je vois un flic qui n'a pas de souci de vie privée. Et j'ai trouvé ça non seulement bizarre mais du coup ennuyant parce que dans ce cas là, quel intérêt psychologique dans les personnages ?
Aucun. Pour moi en tout cas.
Encore une fois ce n'est pas un mauvais polar mais à force d'en lire beaucoup je me suis rendue compte qu'il me fallait des choses vraiment différentes, ou des personnages avec une psychologie vraiment poussée, avec une écriture très glauque, avec un univers qui sort vraiment de l'ordinaire enfin bref, pas un pur polar qui ne sort pas du genre "roman policier" pour que ça me plaise vraiment !