L'homme qui partit en fumée, M. Sjöwall & P. Wahlöö
Le premier volume de la série de ce couple "fondateur du roman policier suédois" m'a tellement plu que je me suis jetée sur la suite !
Nous retrouvons Martin Beck qui se réjouit de partir en vacances pendant un mois, avec sa femme et ses enfants. A peine arrivé, son supérieur l'appelle pour une affaire que lui seul peut résoudre...
Un journaliste a disparu en Hongrie et tout cela paraît bien louche... Notre héros fonce faire son devoir et prend le chemin de Budapest où cette mystérieuse disparition paraît de plus en plus difficile à comprendre...
C'est bien simple : j'ai dévoré ce deuxième volet encore plus vite que le premier ! L'intrigue est très bonne et l'atmosphère est propice à une lecture haletante.
La moitié du volume se passe à Budapest (ce qui n'est pas sans rappeler le dernier Indridason que j'ai lu qui n'est pas suédois mais islandais, et qui a écrit "L'homme du lac" il y a quelques années alors que le couple suédois a écrit "L'homme qui partit en fumée" il y a plus de 30 ans !) et encore une fois, c'est intéressant de voir l'approche prise par Martin Beck qui n'a pas le moindre indice et ne sait pas vraiment par où commencer.
Bref, sans pouvoir expliquer le comment du pourquoi, ce polar est tout simplement génial. Et si mes finances ne m'en empêchaient pas, j'aurai déjà lu les tomes suivants disponibles chez Rivages Noir. (Heureusement que pour l'instant seulement 5 sur les 10 ont été réédités!)
Nous retrouvons Martin Beck qui se réjouit de partir en vacances pendant un mois, avec sa femme et ses enfants. A peine arrivé, son supérieur l'appelle pour une affaire que lui seul peut résoudre...
Un journaliste a disparu en Hongrie et tout cela paraît bien louche... Notre héros fonce faire son devoir et prend le chemin de Budapest où cette mystérieuse disparition paraît de plus en plus difficile à comprendre...
C'est bien simple : j'ai dévoré ce deuxième volet encore plus vite que le premier ! L'intrigue est très bonne et l'atmosphère est propice à une lecture haletante.
La moitié du volume se passe à Budapest (ce qui n'est pas sans rappeler le dernier Indridason que j'ai lu qui n'est pas suédois mais islandais, et qui a écrit "L'homme du lac" il y a quelques années alors que le couple suédois a écrit "L'homme qui partit en fumée" il y a plus de 30 ans !) et encore une fois, c'est intéressant de voir l'approche prise par Martin Beck qui n'a pas le moindre indice et ne sait pas vraiment par où commencer.
Bref, sans pouvoir expliquer le comment du pourquoi, ce polar est tout simplement génial. Et si mes finances ne m'en empêchaient pas, j'aurai déjà lu les tomes suivants disponibles chez Rivages Noir. (Heureusement que pour l'instant seulement 5 sur les 10 ont été réédités!)