L'équilibre du monde, Rohinton Mistry
Ishvar et Om, oncle et neveu, se rendent chez Dina pour travailler en tant que tailleurs à ses services. Dans le train, ils rencontrent Maneck, un jeune étudiant qui se dirige également chez Dina pour vivre chez elle, en tant qu'hôte payant.
Et à partir de là, se tisse une histoire merveilleuse, foisonnante, qui dépeint une Inde pauvre mais où les petits bonheurs quotidiens sont les plus importants.
Je crois qu'en ces quelques lignes, j'ai tout dit.
Mais c'est un si beau livre, c'est un si grand livre, un vrai classique de la littérature indienne que je ne peux pas me contenter de si peu.
Petit à petit, on apprend les vies de chacun. De Ishvar et de son frère. De leur famille et de leur atroce destinée. On suit Om grandir jusqu'à son arrivée dans ce train.
On apprend à connaître Maneck qu'on voit grandir aussi. On voit tisser une belle amitié entre Maneck et Om. Mais aussi Dina et Ishvar.
Une famille qui n'en est pas une.
Une famille pauvre mais qui au fur et à mesure du temps apprend à s'entraider.
Une belle famille.
Tout ce livre est merveilleusement tissé, comme ce patchwork que Dina va coudre tout du long, avec des bouts de tissus usagés.
Chaque morceau prit séparement est un peu bizarre, pas forcément joli, mais le tout mit bout à bout, chaque morceau accroché à un autre morceau selon son instinct donne un élément magnifique.
Plein de vie et de merveilleux souvenirs pour ces quatre hommes et femmes qui ont pourtant une vie bien triste.
Car le tableau de l'Inde qui nous est offert ici est vraiment très noir. Aucune justice, beaucoup de mendiants (pas forcément les plus malheureux d'ailleurs!), un gouvernement qui n'a peu faire des citoyens, des personnes blessées, tuées, torturées...
Une histoire tragique finalement. Et pourtant si belle.
Une histoire qui me fait encore monter les larmes aux yeux.
Et à partir de là, se tisse une histoire merveilleuse, foisonnante, qui dépeint une Inde pauvre mais où les petits bonheurs quotidiens sont les plus importants.
Je crois qu'en ces quelques lignes, j'ai tout dit.
Mais c'est un si beau livre, c'est un si grand livre, un vrai classique de la littérature indienne que je ne peux pas me contenter de si peu.
Petit à petit, on apprend les vies de chacun. De Ishvar et de son frère. De leur famille et de leur atroce destinée. On suit Om grandir jusqu'à son arrivée dans ce train.
On apprend à connaître Maneck qu'on voit grandir aussi. On voit tisser une belle amitié entre Maneck et Om. Mais aussi Dina et Ishvar.
Une famille qui n'en est pas une.
Une famille pauvre mais qui au fur et à mesure du temps apprend à s'entraider.
Une belle famille.
Tout ce livre est merveilleusement tissé, comme ce patchwork que Dina va coudre tout du long, avec des bouts de tissus usagés.
Chaque morceau prit séparement est un peu bizarre, pas forcément joli, mais le tout mit bout à bout, chaque morceau accroché à un autre morceau selon son instinct donne un élément magnifique.
Plein de vie et de merveilleux souvenirs pour ces quatre hommes et femmes qui ont pourtant une vie bien triste.
Car le tableau de l'Inde qui nous est offert ici est vraiment très noir. Aucune justice, beaucoup de mendiants (pas forcément les plus malheureux d'ailleurs!), un gouvernement qui n'a peu faire des citoyens, des personnes blessées, tuées, torturées...
Une histoire tragique finalement. Et pourtant si belle.
Une histoire qui me fait encore monter les larmes aux yeux.