Jeanne de la zone, Etienne Davodeau & Frédérique Jacquet
Jeanne est née en 1900. Elle est la fille unique de Baptiste et Constance. Ils habitent dans une maison construite des mains-même de Baptiste, dans la Zone. Ils sont pauvres mais ils sont heureux.
Et Jeanne grandi, étudie, se pose des questions, tombe amoureuse...
Je ne sais pas si je dois qualifier ce livre de BD ou d'album jeunesse ; peut-être est-ce tout simplement quelque part entre les deux. Le texte est vraiment très beau et voir cette Jeanne grandir en ce début de siècle est très touchant.
L'ambiance générale m'a rappelé ma grand-mère... la vie était dure mais tout le monde était heureux, tout le monde se serrait les coudes... On n'allait pas à l'école le jeudi et on aidait sa mère à coudre ou à faire le ménage...
Et puis j'ai beaucoup aimé les illustrations. Je suis de toute façon en général très sensible aux dessins en noir et blanc, je trouve que ça suggère beaucoup plus que ça ne dit. Et ça colle tout à fait avec l'époque.
C'est à vrai dire une histoire toute simple mais si belle. Et la collection "L'histoire sensible" de cette maison d'édition que je ne connaissais pas (Les éditions de l'Atelier) s'attache à faire revivre le quotidien oublié des générations passées.
Pour cela, chaque livre de la collection met en scène trois parties : l'histoire en elle-même, une sorte de dictionnaire sur l'époque, que j'ai trouvé très intéressant et à la fois clair, concis et précis pour les jeunes. Et enfin, un dialogue entre les descendants des héros.
Ayant lu cette dernière partie sans savoir que ça faisait partie de la ligne éditoriale de la collection, j'ai pris un grand plaisir à voir l'arrière-petite fille de Jeanne en 2007 riant de sa grand-mère qui parle tout le temps de Maman-Jeanne lorsqu'elle s'énerve sur le périf' (la Zone se trouvait sur l'actuel emplacement du périf', en toute logique! )
En plus du dictionnaire, il y a des tonnes de références bibliographiques pour aller plus loin.
Bref, je ne pourrais être plus claire : c'est vachement bien !
Surtout qu'on a cette douce impression de tourner les pages d'un album de famille...
Et Jeanne grandi, étudie, se pose des questions, tombe amoureuse...
Je ne sais pas si je dois qualifier ce livre de BD ou d'album jeunesse ; peut-être est-ce tout simplement quelque part entre les deux. Le texte est vraiment très beau et voir cette Jeanne grandir en ce début de siècle est très touchant.
L'ambiance générale m'a rappelé ma grand-mère... la vie était dure mais tout le monde était heureux, tout le monde se serrait les coudes... On n'allait pas à l'école le jeudi et on aidait sa mère à coudre ou à faire le ménage...
Et puis j'ai beaucoup aimé les illustrations. Je suis de toute façon en général très sensible aux dessins en noir et blanc, je trouve que ça suggère beaucoup plus que ça ne dit. Et ça colle tout à fait avec l'époque.
C'est à vrai dire une histoire toute simple mais si belle. Et la collection "L'histoire sensible" de cette maison d'édition que je ne connaissais pas (Les éditions de l'Atelier) s'attache à faire revivre le quotidien oublié des générations passées.
Pour cela, chaque livre de la collection met en scène trois parties : l'histoire en elle-même, une sorte de dictionnaire sur l'époque, que j'ai trouvé très intéressant et à la fois clair, concis et précis pour les jeunes. Et enfin, un dialogue entre les descendants des héros.
Ayant lu cette dernière partie sans savoir que ça faisait partie de la ligne éditoriale de la collection, j'ai pris un grand plaisir à voir l'arrière-petite fille de Jeanne en 2007 riant de sa grand-mère qui parle tout le temps de Maman-Jeanne lorsqu'elle s'énerve sur le périf' (la Zone se trouvait sur l'actuel emplacement du périf', en toute logique! )
En plus du dictionnaire, il y a des tonnes de références bibliographiques pour aller plus loin.
Bref, je ne pourrais être plus claire : c'est vachement bien !
Surtout qu'on a cette douce impression de tourner les pages d'un album de famille...