La voix, Arnaldur Indridason
Quelques jours avant Noël, le portier d'un hôtel est retrouvé mort dans le cagibi dans lequel il vivait, dans la cave de l'hôtel, un des plus grands et réputés de Reykjavik.
Il avait l'habitude de faire le père Noël pour le Noël des enfants et a été retrouvé dans ce costume, le pantalon baissé, un présevatif plein de salive...
Voilà la 3è enquête du comissaire Erlendur que nous offre ici Indridason.
J'ai mis lontemps à lire ce troisième volume et c'est après être allé voir le film Jar city (adaption du premier opus, la cité des jarres, fidèle au livre mais film pas très bon) que j'ai eu envie de me replonger en Islande.
Et c'était absolument génial !
J'ai adoré retrouvé ce comissaire, ses collègues, sa fille, son état d'être très solitaire, cet envie qu'il a de nouer avec sa fille sans forcément savoir comment s'y prendre. J'ai vraiment aimé le regarder évoluer.
J'ai tout autant aimé l'atmosphère de l'Islande, même si elle est très peu présente ici car tout se passe dans l'hôtel. Erlendur aimant si peu se retrouver seul face à lui même pour les fêtes de fin d'année il y a pris une chambre, sans trop vraiment savoir pourquoi. Du coup, tout ce qu'il se passe à l'extérieur ne nous est rapporté que par la bouche des témoins ou des collègues.
Mais ça se passe dans un hôtel et je n'ai pu que m'y sentir chez moi. Car tout est juste. "Tout le monde sait tout sur tout le monde mais personne ne connaît personne". Des accusations à tort et à travers, un directeur très gras et un peu louche. Des chefs de service qui se font la guerre parce que l'un fait des choses considérées illégales mais qui lui rapportent de l'argent, et des clients...
Bref, j'ai trouvé l'atmosphère de l'hôtel vraiment très juste.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai pris un grand plaisir à retrouvé Erlendur et à le voir avancer dans la vie et dans sa relation avec sa fille, et avec son frère surtout.
Et puis j'ai trouvé amusé que Indridason nous fasse parvenir les méandres d'une autre enquête. Un père accusé d'avoir battu son fils. Un cas que Elinborg prend très à coeur, raison pour laquelle elle relate les avancées du jugement à Erlendur.
Deux enquêtes, un personnage attachant, une atmosphère de Noël raté, "La Voix" est une réussite !
Il avait l'habitude de faire le père Noël pour le Noël des enfants et a été retrouvé dans ce costume, le pantalon baissé, un présevatif plein de salive...
Voilà la 3è enquête du comissaire Erlendur que nous offre ici Indridason.
J'ai mis lontemps à lire ce troisième volume et c'est après être allé voir le film Jar city (adaption du premier opus, la cité des jarres, fidèle au livre mais film pas très bon) que j'ai eu envie de me replonger en Islande.
Et c'était absolument génial !
J'ai adoré retrouvé ce comissaire, ses collègues, sa fille, son état d'être très solitaire, cet envie qu'il a de nouer avec sa fille sans forcément savoir comment s'y prendre. J'ai vraiment aimé le regarder évoluer.
J'ai tout autant aimé l'atmosphère de l'Islande, même si elle est très peu présente ici car tout se passe dans l'hôtel. Erlendur aimant si peu se retrouver seul face à lui même pour les fêtes de fin d'année il y a pris une chambre, sans trop vraiment savoir pourquoi. Du coup, tout ce qu'il se passe à l'extérieur ne nous est rapporté que par la bouche des témoins ou des collègues.
Mais ça se passe dans un hôtel et je n'ai pu que m'y sentir chez moi. Car tout est juste. "Tout le monde sait tout sur tout le monde mais personne ne connaît personne". Des accusations à tort et à travers, un directeur très gras et un peu louche. Des chefs de service qui se font la guerre parce que l'un fait des choses considérées illégales mais qui lui rapportent de l'argent, et des clients...
Bref, j'ai trouvé l'atmosphère de l'hôtel vraiment très juste.
Comme je l'ai déjà dit, j'ai pris un grand plaisir à retrouvé Erlendur et à le voir avancer dans la vie et dans sa relation avec sa fille, et avec son frère surtout.
Et puis j'ai trouvé amusé que Indridason nous fasse parvenir les méandres d'une autre enquête. Un père accusé d'avoir battu son fils. Un cas que Elinborg prend très à coeur, raison pour laquelle elle relate les avancées du jugement à Erlendur.
Deux enquêtes, un personnage attachant, une atmosphère de Noël raté, "La Voix" est une réussite !