Hard eight, Janet Evanovich

Et comme elle a tout à fait raison et que j'avais du mal à entrer dans le livre que j'avais entamé, je n'ai pas hésité une seconde à passer ce dimanche pluvieux en compagnie de Stéphanie Plum.
Cette fois, c'est Mabel, la voisine de ses parents, qui fait appel à ses services parce que sa petite fille a disparu, avec sa fille d'ailleurs (donc l'arrière petite fille de Mabel).
Entre temps, Stéphanie est chargée par son employeur, son cousin Vinnie, de retrouver deux autres "FTAs".
Eh bien ce n'est pas une grande surprise, mais il n'y a rien de mieux pour vous tenir compagnie en un dimanche pluvieux.
Comme d'habitude, l'intrigue policière ne nous inquiète pas beaucoup mais on retrouve avec plaisirs tous les personnages secondaires, Lula, Mamie Mazure et la soeur de Stéphanie, Valérie, récemment revenue vivre à Trenton avec ses deux filles, dont l'une se prend pour un cheval.
Et bien sûr, on découvre de nouveaux personnages, notamment cet avocat voué à un brillant avenir, Albert Kloughn (prononcé clown)...
Et alors que Stéphanie est suivi par un lapin, les éternels Ranger et Morelli sont présents à chaque scène ou presque.
Ranger est déterminé à finir son "unfinished business" et comme dirait Miss Plum... omigod !!!!!!!!
Quant à Morelli, il est toujours inquiet pour notre héroïne préférée, dont il est clairement amoureux et si ça ne vous fait pas craquer ça alors, c'est que vous n'êtes pas une femme!
Et j'ai fait mon choix.
Entre Ranger et Morelli on s'entend.
C'est le 8è volet que je lis depuis que Stéphanie est une chasseuse de prime hors pair.
J'ai eu une grande préférence pendant Morelli pendant très longtemps.
Et puis Ranger, ce super héros que même Mamie Mazure aimerait voir nu, dégage une telle aura de sexytude au travers de simples pages de papier que je ne pouvais m'empêcher d'être attirée par lui (and who whouldn't ???)
Mais là, ça y est. Je sais.
En fait, il suffit d'avoir la tendresse et l'amour de Morelli dans le corps et l'aura de super héros de Ranger.
Simple, non ?? ;-)
PS : à nouveau, un grand merci à Fashion de me les prêter. Et un grand merci à ma mère de m'avoir appris à parler anglais parce qu'apparemment, au dela du n°9, aucune traduction n'est prévu (alors que le 14è je crois est prévu pour cet été...)