Les chevaliers du subjonctif, Erik Orsenna
Je n'ai pas pu résister à continuer mon doux voyage chantant dans l'univers des îles d'Erik Orsenna. Je n'ai donc pas hésité à me jeter sur ce court roman, écrit tout aussi gros et tout aussi illustré que la grammaire est une chanson douce.
Autant je n'aurai pas voulu m'arrêter lorsque j'ai écrit mon billet sur ce dernier, autant une fois le livre fermé j'ai surfé sur Internet pour en savoir plus, autant là, j'ai été très déçue.
Pourquoi ?
Et bien c'est exactement la même chose.
J'aurai donc dû aimer, en toute logique, non ?
Et bien je n'ai pas détesté mais je n'ai pas été surprise et donc pas autant envoûtée. Et puis contraiment à la dernière fois, je l'ai lu en 3 fois et je crois que ce n'est pas un conte qu'on devrait lire en plus d'une fois. Ca devrait juste être une histoire qu'on se raconte avant de dormir.
Ce que j'ai moins aimé dans Les chevaliers du Subjonctif, c'est que, comme son nom l'indique, Erik Orsenna ne parle que du Subjonctif.
J'étais très attirée parce que justement, le Subjonctif a toujours posé problème. J'étais donc très curieuse de savoir comment M. Orsenna, m'ayant envie de retourner à l'école, m'aurait fait voyager dans ce mode complexe.
Eh bien... on ne parle que du Subjonctif pour en dire tout le temps la même chose.
On rencontre pourtant des perssonnages nouveaux, tous aussi farfelus que ceux rencontrés dans la grammaire est une chanson douce, tout aussi attachants et originaux mais je ne sais pas... c'est la même chose, tout simplement.
Sauf que ça me parle moins parce que ça ne fait pas vivre le Subjonctif comme il a su faire vivre les mots, les adjectifs, les verbes et tout ce qui nous sert à nous exprimer.
Ceci dit, j'irai quand même lire La révolte des accents parce que l'auteur fait bien les choses et qu'il termine son livre comme Kill Bill vol. 1 : au beau milieu d'une bataille! (enfin presque mais c'est l'impression que j'ai eue)
Autant je n'aurai pas voulu m'arrêter lorsque j'ai écrit mon billet sur ce dernier, autant une fois le livre fermé j'ai surfé sur Internet pour en savoir plus, autant là, j'ai été très déçue.
Pourquoi ?
Et bien c'est exactement la même chose.
J'aurai donc dû aimer, en toute logique, non ?
Et bien je n'ai pas détesté mais je n'ai pas été surprise et donc pas autant envoûtée. Et puis contraiment à la dernière fois, je l'ai lu en 3 fois et je crois que ce n'est pas un conte qu'on devrait lire en plus d'une fois. Ca devrait juste être une histoire qu'on se raconte avant de dormir.
Ce que j'ai moins aimé dans Les chevaliers du Subjonctif, c'est que, comme son nom l'indique, Erik Orsenna ne parle que du Subjonctif.
J'étais très attirée parce que justement, le Subjonctif a toujours posé problème. J'étais donc très curieuse de savoir comment M. Orsenna, m'ayant envie de retourner à l'école, m'aurait fait voyager dans ce mode complexe.
Eh bien... on ne parle que du Subjonctif pour en dire tout le temps la même chose.
On rencontre pourtant des perssonnages nouveaux, tous aussi farfelus que ceux rencontrés dans la grammaire est une chanson douce, tout aussi attachants et originaux mais je ne sais pas... c'est la même chose, tout simplement.
Sauf que ça me parle moins parce que ça ne fait pas vivre le Subjonctif comme il a su faire vivre les mots, les adjectifs, les verbes et tout ce qui nous sert à nous exprimer.
Ceci dit, j'irai quand même lire La révolte des accents parce que l'auteur fait bien les choses et qu'il termine son livre comme Kill Bill vol. 1 : au beau milieu d'une bataille! (enfin presque mais c'est l'impression que j'ai eue)